
A vous, amateurs de belles choses et donc de garde-temps d’exception, nous vous invitons à partir à la découverte du nouveau chronographe d’Omega qui, derrière sa désignation dont les consonnances sportives se retrouvent dans son design, abrite un mécanisme révolutionnaire faisant de lui la toute première montre automatique qui ne retarde pas. Cette montre, il s’agit de la Speedmaster Super Racing, une véritable révolution dans le petit monde merveilleux de l’horlogerie de pointe que vous prendrez, espérons-le, autant de plaisir à admirer que nous. Jusqu’à peut-être avoir la chance de la porter à votre poignet.
On ne peut parler sérieusement d’innovation horlogère sans ne serait-ce qu’évoquer Omega. La célèbre manufacture Suisse, qui est entrée dans une nouvelle ère l’an passé grâce à sa MoonSwatch conçue en collaboration avec Swatch, a toujours cherché à repousser à la fois ses propres limites et celles de la mécanique horlogère pour nous proposer des garde-temps tous plus précis les uns que les autres. En outre, Omega fait partie de ces fabricants de montres pour qui la performance a autant d’importance que le style, et ce depuis sa création en 1848 à Chaux-de-Fonds. Parmi ces modèles historiques qui incarnent parfaitement cette volonté perpétuelle de concilier style et performance figure la Speedmaster. Conçue en 1957, la Speedmaster d’Omega est rapidement entrée dans l’histoire de l’horlogerie et de l’aérospatial en devenant la première montre à avoir été portée sur la Lune. C’était évidemment en 1969, lors de la mission Apollo 11, non pas par Neil Armstrong mais par son acolyte Buzz Aldrin. Notons d’ailleurs que c’est de la Speedmaster popularisée ainsi par ce dernier qu’est inspirée la MoonSwatch, tout du moins sur le plan esthétique.
Omega Speedmaster Super Racing : une prouesse technique révolutionnaire conjuguée à un style d’inspiration sportive moderne.

L’Omega Speedmaster n’est donc pas n’importe quelle montre. Il s’agit d’un des joyaux du fabricant implanté aujourd’hui à Vienne que celui-ci a continué à faire évoluer dans différentes versions. Des versions aux racines lunaires bien ancrées qui ont gagné en précision jusqu’à l’atteinte récente d’un objectif qui fut longtemps considéré comme utopique, à savoir la création d’une montre automatique qui ne retarde jamais et n’avance de surcroît pas plus de 2 secondes par jour. Un véritable exploit pour Omega sur lequel nous nous devions de revenir en détail sur Watchn’you.
Nous n’avons pas vocation ici à expliquer comment fonctionne une montre automatique. Précisons juste qu’il convient davantage de parler de mouvement automatique, en ce sens que c’est le mouvement du poignet qui permet dans ce cas à la montre d’accumuler l’énergie nécessaire à son fonctionnement. Autrement dit, c’est en la portant régulièrement que ses aiguilles pourront continuer de tourner afin d’indiquer l’heure. Ajoutons que le mécanisme d’un garde-temps dit automatique est naturellement complexe. Il est constitué d’une multitude de pièces qui jouent toutes un rôle déterminant. Retenons en 2 : le rotor, qui n’est autre qu’une masse oscillante, et le barillet, qui s’apparente à une bande d’acier élastique. La recharge d’une montre automatique via les mouvements du poignet est permise par l’action de ces derniers sur le rotor qui, ainsi entré en rotation, peut remonter le ressort du barillet afin qu’il libère son énergie ; celle-là même qui assurera le bon fonctionnement du mécanisme dans sa globalité. C’est ainsi les montres automatiques d’Omega, et de toutes les autres marques d’ailleurs, peuvent faire opérer leur magie.
Leur avantage est nettement plus simple à comprendre que leur fonctionnement : elles n’ont besoin d’aucune source d’énergie alternative, à commencer par des piles, pour rester à l’heure et, plus globalement, assurer l’ensemble de leurs fonctionnalités. En revanche, les montres automatiques présentent quelques inconvénients notables. Le principal est la dégradation que peut subir le mouvement au fil du temps, au point parfois d’altérer sa précision, ce qui se manifeste alors par des retards ou des avancées plus ou moins significatives de l’heure. Cette dégradation peut être causée par une absence durable de mouvement et/ou l’exposition aux champs magnétiques.

Voilà en quoi la nouvelle Speedmaster Super Racing surclasse toutes ses concurrentes, d’Omega et de n’importe quelle autre manufacture.
Pour atteindre un tel niveau de précision, qui plus est de manière pérenne, Omega a donc développé un tout nouveau calibre baptisé Co-Axial Master Chronometer 9920. C’est le premier de la marque suisse à intégrer le système « Spirate », en cours de brevetage. Certifié Master Chronometer, et approuvé par METAS, l’Institut fédéral de métrologie, ce système a la particularité révolutionnaire de permettre un remontage automatique avec roue à colonnes et échappement Co-Axial, assurant de fait à la Speedmaster Super Racing et aux futurs modèles qui en seront équipés une réserve de marche de 60 heures correspondant à une précision record certifiée de l’ordre de 0/+2 secondes par jour. Sans oublier une résistance accrue aux champs magnétiques permise quant à elle par l’utilisation du spiral en silicium. Par conséquent, aucun autre garde-temps de quel que fabricant que ce soit n’arrive pour le moment à la cheville de la Speedmaster Super Racing. Une nouvelle d’autant plus réjouissante pour les fans d’horlogerie de pointe, et plus encore d’Omega, qui auront l’opportunité d’apprécier à sa juste valeur la finesse esthétique de ce fameux calibre.
L’Omega Speedmaster Super Racing est effectivement doté d’un fond de boîte transparent.
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